UNE AUTRE FERMETURE
Marché aux puces : Grandes ventes de fermeture les 14 juillet et 11 août, de 10h à 16
Vous nous donnerez selon votre discrétion
La CRLNF a été fondée il y a plus de 20 ans sur des objectifs de COLLABORATION ET DE CONSERVATION avec la Fabrique de Ste-Hénédine en respectant une éthique morale de charité communautaire.
Ce n’est pas de gaieté de cœur que nous sommes aujourd’hui dans l’obligation de fermer le Marché aux Puces qui était à priori un service de récupération, de réutilisation et de recyclage pour diminuer le gaspillage et contribuer à la protection de la planète. Il était aussi une occasion de rassemblement et de partage pour notre communauté et les communautés voisines.
Malheureusement, la CRLNF n’est pas à même de payer la surprime d’assurance que la Fabrique-de-Sainte-Mère-de-Jésus nous exige pour garder la Marché aux Puces ouvert.
La corporation possédait déjà une assurance qui couvrait les responsabilités pour l’ensemble de ses activités publiques et touristiques.
Nous avions aménagé à nos frais le nécessaire pour la sécurité au sous-sol de la sacristie( main courante, éclairage, sortie lumineuse du sous-sol, etc.).
Mentionnons que depuis janvier 2024, à l’exigence de la FSMDJ, la CRLNF verse déjà 800$ à la FSMDJ, uniquement pour entreposer ses biens au presbytère.
Pourtant, au fil des ans, nous avons fait preuve d’une vraie collaboration avec les
160 000$ tangibles et comptabilisables versés aux deux fabriques.
Les fabriques regroupées devenues aujourd’hui Sainte-Mère-de-Jésus nous semblent vouloir à tout prix faire table rase d’un OBNL gênant, en l’occurrence la CRLNF.
Nous estimons qu’en fusionnant les fabriques, l’archevêché a tué la poule aux œufs d’or c’est-à-dire le sentiment d’appartenance de la population locale et une diminution en continu des dons qui permettraient la conservation de notre église.
Les membres de notre Conseil d’administration ont recherché la cohérence des récents événements et nous nous demandons toujours ce qui pousse autant les responsables des décisions à éradiquer des actions bénévoles aussi aidantes que constructives auprès des différentes communautés de notre région.
L’argent aurait-il une fois de plus priorité sur les valeurs humaines d’entraide et de partage?
Corporation Louis-Napoléon-Fiset